Comme si, à partir de sa Plymouth Fury 1971, ce propriétaire de voiture de taxi, avait été soudainement transporté dans le temps, vers le volant d’une Prius dans les rues du Montréal de 2022. Un environnement de travail bien différent. Des repères disparus. Voilà un peu le genre de changements qui sont survenus dans le monde des transactions immobilières depuis 2012, l’année de notre cinquième achat. En effet, de la demande de visite, jusqu’à l’obtention d’un rendez-vous, et la confirmation de celui-ci chez un notaire, tout est plus ardu, tout exige un investissement de temps plus grand. Les prix qui augmentent sans cesse deviennent intimidants. La pandémie, la surenchère, le nombre considérable de propriétés vendues sans garantie légale, les visites cédulées au 15 minutes, tout ça créé une expérience d’achat ou on se sent parfois un peu déstabilisé, bousculé et parfois franchement stressé. C’est alors que les services d’un bon agent (bonne agente) prennent de l’importance pour nous guider dans le processus maintenant complexifié. Monsieur Caro fera plus encore.
Dans ce contexte, au fil des visites décevantes et des offres refusées se créé un sentiment d’urgence ou il devient facile d’oublier nos critères de base. Un meilleur agent, parce qu’il nous aura posé les bonnes questions, parce qu’il demeure à l’écoute, nous accompagne en nous rappelant ce que nous cherchions, en nous faisant réfléchir à l’importance de cette concession que l’on envisage faire. Il traduit le jargon du métier, il interprète avec justesse notre langage non verbal. Il confirme nos doutes et nos impressions, nos déductions. Il pointe les défauts que nous aurions manqués. Il fait voir sobrement les avantages, de la même façon, il nous fait part de ses observations et de ses constatations. Un très bon agent ne veut pas nous vendre une maison, il veut que nous achetions celle qui nous va. Ce fut notre expérience avec Monsieur Yvan Caro.
Normand et Carole